Notre dernier travaux consistait a rédiger une nouvelle de 30 lignes minimum avec une morale à la fin, c'est ainsi que mon imagination voulu que je fasse un dessin pour l'occasion.
Un beau jour, une autre femme arriva sur ces terres. Elle portait des accoutrements sombres, dont une longue cape noire couverte de boue. Les habitants étonnés de voir pour la première fois une inconnue en campagne, prirent peur de celle-ci et la rejetèrent. La mystérieuse demoiselle ne comprit pas le manque d'amabilité de ces personnes, mais elle ne préféra pas rester plus longtemps ici. Pendant qu'elle partait vers la grande forteresse au centre du royaume, elle exclama :"
- Je dois impérativement retrouver le doyen de cette capitale, ne prévenez guère votre reine c'est une surprise !"
Nos habitants reprirent leurs occupations sans se poser de questions. Et pour finir l'étrangère invoqua son fidèle destrier et partit en jetant un œil sur les agriculteurs, les quelques marchants; puis le jeune berger d'une manière inquiète.
Le doyen vivait dans une petite cabane juste derrière la forteresse, il était magicien par le passé, mais il oublia l'existence de son don du jour au lendemain. Emma et son destrier ne devait pas se précipiter davantage. Car Arthuria l'entendrait et elle s'empresserait de l'enfermer dans la grande tour avec l'époux d'Emma suite aux mésaventures de notre cavalière. Arrivée sur place, elle expliqua le problème de suite. Elle affirma que c'était elle la vraie souveraine et qu'Arthuria avait pris sa place, que c'était une sorcière qui pratiquait la magie noire ! Le vieux, perplexe lui demanda comment es-ce possible, tout en sachant que le royaume allait pour le mieux. Notre jeune femme était en plus de cela méconnaissable, rempli de crasses, avec des cheveux très longs et emmêlés.
Emma éclairci donc ses propos et lui racontait que le royaume entier souffre d'une illusion et qu'elle plonge les lieux dans le dégoût et les ténèbres. C'était surement à cause de ces graines rouges que la sorcière avait plantées pour propager plus facilement son charme continuellement. Ce qui justifie aussi pourquoi les humains et tous les animaux pouvaient cohabiter ensemble ce qui provoquait la disparition de l'écosystème ainsi que la chaîne alimentaire. Mais se qui était encore plus étrange, c'est qu'aucunes personnes ne se souvenait de l'existence de ces deux mots. Alors le doyen rétorqua : "
- Mais pourquoi son apparence ne diffère donc pas ? La perte de vocabulaire fait-elle partit de l'illusion ?
- Je le crains. répondit désemparer la jeune femme."
Le vieux, disait aussi prétendre avoir déjà entendu parler de ces deux mots dans des recueils sur la nature et les espèces. Cependant, ils se trouvaient dans la bibliothèque royale, maintenant sceller peut-être même brûler à l'heure actuelle. La sorcière disait que personne n'en avait besoin.
Emma avait fui par le passé le royaume pour créer un antidote lui permettant de combattre l'illusion. C'est ainsi qu'elle put préparer seulement deux fioles, une pour elle et une autre pour notre doyen pour qu'il puisse retrouver ses pouvoirs. Car pour anéantir la sorcière il devait lui prêter main-forte. Puis, nos deux protagoniste créèrent assez d'antidote pour remplir une marmite géante qu'ils verseront dans la fontaine ou se désaltérait les citadins.
Le lendemain, les paroissiens comprirent ce qu'ils leur étaient arrivés et qui les avaient sauvés. C'est alors qu'Emma proposa aux citadins de venir les aider afin de distraire la garde royale pendant que le vieux et elle puisse faire face à Arthuria. C'est ainsi que tous deux allièrent leurs forces et emprisonnèrent la méchante sorcière dans les catacombes de la bâtisse à tout jamais. Emma lui donnait de petites rations de nourritures, pour la voir se décomposer chaque jour.
Le royaume enfin sauvé, Emma retrouva son époux et permet aux amants d'étendre des générations futures sur ces terres.
► On voit à travers ce récit, que nous devons être vigilant et méfiant envers les apparences de des personnes qui nous entourent. Ainsi que de se détacher de l’innocence et la naïf-té que nous pouvons émettre malgré nous.